Ce présentoir de joaillier en alisier, chef d’œuvre d’épure, de beauté et de fonctionnalité, a justement valu à Jean-Louis Gabarroca son titre de meilleur ouvrier de France.
Ce présentoir de joaillier en alisier, chef d’œuvre d’épure, de beauté et de fonctionnalité, a justement valu à Jean-Louis Gabarroca son titre de meilleur ouvrier de France.
Cet ornement apparaît comme une touche de vie surprenante. Un peu de rose, un peu de vert, un peu de jaune et un peu de rouge, on croise les lignes et brise les règles du primaire et du complémentaire.
Un dressing aux deux couleurs les plus sobres ; noir et blanc. Ici, le bois massif respecte le désir d’élégance du lieu. C’est un haut de gamme caché, une partie de la pièce qui n’est pas montrée à tous, mais promet ravissement à qui aura droit de voir. Le verre, le miroir et le bois se conjuguent ici pour mettre en avant les habits, et plus encore ; l’habillé.
Pour ce dressing, on s’étonne des lignes qui traversent l’image, compartimentent les goûts et les couleurs attendues. La ligne claire est ici travaillée sur-mesure. Ce dressing pense à vous ; se voir directement et trancher vite entre les tenues.
Une porte d’entrée en chêne, travaillée avec la précision nécessaire à un résultat aussi épuré que majestueux. L’ajout de boiseries se veut discret, mais assumé, pour rappeler la noblesse du bois sans évoquer une entrée trop baroque.
On a ici plusieurs types de placards : la plupart s’adaptent aux meubles qu’ils mettent en valeur. Là encore, le placage bois prouve son efficacité lorsqu’il est là pour la sobriété. Le tout est de travailler le rigide et la respiration, pour permettre aux éléments haut de gamme d’être le plus sublimés possible.
On s’y accoude, on s’y oublie, on s’y amuse. On se pose au comptoir d’un bar avec peu d’attentes, et mille pensées à troquer. Contre du vin, de la bière, ou même encore des sourires. C’est dans cette esthétique que le bar de l’hôtel Luchon fut réalisé. On dialogue avec les oppositions ;
Difficile de faire plus différent que le verre et le bois. L’un est solide, l’autre casse avec le plus petit choc. L’un est brut, l’autre un matériau transformé au point de douter de sa provenance. Dans la cave à vin Fabrika, c’est cette association qui apporte une originalité esthétique particulière.
Les couloirs ont toujours été amis de l’austérité. Ces non-lieux peu respectés, souvent fades, nus, sont traversés plus que visités, et donc, jamais vraiment vus. L’idée était de
briser cela, redonner sa grandeur et rendre le lieu haut de gamme.
C’est assurément autour du repas que naissent les liens. Les rendre physiquement présents est l’idée de ce projet. De troncs solides se crée une arborescence, une dynamique qui fleurit, et à chaque nouvelle pousse est un potentiel de plus à ajouter.